Dans cette œuvre d’Ali Gulec, plusieurs morceaux de cassettes audio cassées ont retrouvées une nouvelle vie. Effectivement, elles ont ici été utilisées par l’artiste pour pouvoir former ce crâne. Sur cette tête de mort, les deux rouleaux de bande font ainsi office d’yeux, tandis que la structure en plastique des cassettes remplace des différents os de cette boite crânienne.