Dans son œuvre intitulée « la bonne distance », Giulia Pesarin brise le tabou de l’anorexie. En effet, elle met à l’honneur une femme très mince. Celle-ci arbore de longues jambes toutes fines et des genoux cagneux. Adossée au mur, la jeune femme est vêtue d’une jupe en tulle de couleur violette et porte des escarpins rouges. L’état délabré de l’endroit vient ajouter une touche mystérieuse à l’ensemble.